Le mode de gouvernance des entreprises de capitaux occupe depuis des décennies une grande partie de la littérature en sciences de gestion, de management et des organisations et se taille également une large place dans les ouvrages juridiques.
Au cœur de cette problématique, une question centrale divise les penseurs et analystes et s’attache à l’évaluation du rapport de force entre les dirigeants et leurs actionnaires dans des allégories opposant le plus souvent les deux acteurs et donnant tour à tour la primauté à l’un ou à l’autre.
Cet intérêt ne revêt pas seulement un caractère théorique mais se traduit bien au contraire de manière directe et réelle à différents égards dans le champs économique.